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Qu'en dit l'abbé ?. Partition complète (24 x 32 cm)

 

Dessin
 

 

 

Coll. Jacques Gana

Qu'en dit l'abbé ?. au centre, Robert Burnier

 

Photo Gilbert René
Extr. de : Comoedia le théâtre illustré 45, 01.06.1925
 

 

 

BNF Gallica

Qu'en dit l'abbé ?.

 

Photo Gilbert René
Extr. de : Comoedia le théâtre illustré 45, 01.06.1925
 

 

 

BNF Gallica

Qu'en dit l'abbé ?. Louise Legru, dite Louis Urgel

 

Photo Gilbert René
Extr. de : Comoedia le théâtre illustré 45, 01.06.1925
 

 

 

BNF Gallica

Qu'en dit l'abbé ?. Viorica et Nadette Aryl, "La Rose mal défendue"

 

Photo Excelsior
Extr. de : Comoedia le théâtre illustré 47, 15.12.1925
 

 

 

BNF Gallica

Qu'en dit l'abbé ?. Nina Myral, Abel Tarride

 

Photo Excelsior
Extr. de : Comoedia le théâtre illustré 47, 15.12.1925
 

 

 

BNF Gallica

Qu'en dit l'abbé ?. Robert Burnier, Paul Villé

 

Photo Excelsior
Extr. de : Comoedia le théâtre illustré 47, 15.12.1925
 

 

 

BNF Gallica

Qu'en dit l'abbé ?. Nina Myral, Robert Burnier

 

Photo Excelsior
Extr. de : Comoedia le théâtre illustré 47, 15.12.1925
 

 

 

BNF Gallica

Qu'en dit l'abbé ?. Air détaché

 

 

 

 

Coll. "Images musicales"

Qu'en dit l'abbé ?.

 

Dessin Julien Pavil (1897-1952)
Extr. de : Comoedia, 22.05.1925
 

 

 

BNF Gallica

Qu'en dit l'abbé ?.

 

Dessin Julien Pavil (1897-1952)
Extr. de : Comoedia, 22.05.1925
 

 

 

BNF Gallica

Qu'en dit l'abbé ?.

 

Photo Gilbert René
Extr. de : Comoedia, 24.05.1925
 

 

 

BNF Gallica

Qu'en dit l'abbé ?.

 

Dessin Julien Pavil (1897-1952)
Extr. de : Comoedia, 24.05.1925
 

 

 

BNF Gallica

Qu'en dit l'abbé ?.

 

Photo Gilbert René
Extr. de : Comoedia, 24.05.1925
 

 

 

BNF Gallica

Qu'en dit l'abbé ?.

 

Dessin Julien Pavil (1897-1952)
Extr. de : Comoedia, 24.05.1925
 

 

 

BNF Gallica

Le Qu'en dit l'abbé ?. Nina Myral (Reprise au Th. de l'Avenue, septembre 1925)

 

Dessin Julien Pavil (1897-1952)
Extr. de : Comoedia, 13.09.1925
 

 

 

BNF Gallica

Le Qu'en dit l'abbé ?. Abel Tarride (Reprise au Th. de l'Avenue, septembre 1925)

 

Photo Jules Sabourin
Extr. de : Comoedia, 13.09.1925
 

 

 

BNF Gallica

Qu'en dit l'abbé ?. Document publicitaire

 

Dessin
 

 

 

Internet

Qu'en dit l'abbé ?. Encart publicitaire

 

Dessin
Extr. de : Excelsior, 18.05.1925
 

 

 

BNF Gallica

Qu'en dit l'abbé ?. Le Théâtre et la mode

 

Dessin Pigeat
Extr. de : Excelsior, 02.06.1925
 

 

 

BNF Gallica

 

Qu'en dit l'abbé ?

  opérette galante en 3 actes, 3 tableaux et 12 gravures du XVIIIe siècle
Texte BATTAILLE-HENRI (Jacques) (Livret)
Musique URGEL (Louis)
Représentations
Représentations à Paris jusqu'en 1944 143 jours
Avenue 23/05/1925 - 15/07/1925 P 54 Création
Avenue 12/09/1925 - 02/11/1925 52
Edouard VII 22/10/1925 - 27/11/1925 37
Distribution à la création
M. BAUR (Harry) Le Duc de Roquelaure
M. HOURY (Henry) Le Vidame de Rolleboise
M. GABAROCHE (Gaston) L'Abbé
M. BROCHARD (Jean) Le Notaire
Mme VIORICA Rose
Mme MYRAL (Nina) La Marquise Honorine de Pompignan
Mme ARYL (Nadette) Le Chevalier de Chevrigny
Mme GRANDIER (Micheline) Rosemonde / La Marchande de modes / Armande
M. DUPRÉ (Léonce) Frison, coiffeur
M. BURNIER (Robert) Le Vicomte de Castel Bidon
Mme ARVERS Rosine / Manette / Isabelle
Mme STELLANO (Suzy) Rosa / La Suivante / Nicole
Mme BORGANE (Gisèle) Rosette / Lisette / Clorinde
M. KOK (René) Tiberge, majordome

chorégraphie BEAUVAIS (Mlle)
costumes LANVIN (Jeanne)
décors BERTIN (Emile)
décors RONSIN (Eugène)
décors ROGER
décors DURAND (Roger)
direction musicale MALET (Fernand)
mise en scène BAUR (Harry)

Programme
1925 Avenue
Flyer publicitaire
Coll. Jacques Gana
1925 Avenue
Coll. Jacques Gana
L'Histoire
Résumé de la pièce

× Une jolie parfumeuse, Rose, est veuve d’un plébéien qui la laissa riche et aimée par le vieux duc de Rochelaure dont les cinquante-huit ans ne se satisfont point des charmes, cependant brûlants et épicés, de sa maîtresse, la marquise Honorine de Pompignan et qui reçoit, dans la "petite maison" du faubourg Saint-Antoine, maintes bonnes fortunes.

Rose veut bien couronner les feux du duc, à une condition. Elle sera présentée à la cour. Pour ce faire, il lui faut trouver un mari titré. Le duc jette son dévolu sur un nicodème de province, le vicomte de Castel-Bhiou, qui, pauvre, sera enchanté de trouver une fortune dans la corbeille de l’épousée. Il arrive, flanqué de l'Abbé, son précepteur, aussi novice que lui des choses de l'amour. Rien ne serait donc plus aisé au duc que d’escamoter, durant la nuit de noces, la belle à son profit, si ne survenait la malicieuse marquise qui, par ordre du roi fait envoyer le duc à Bordeaux et, en surcroit, offre dans son hôtel l’hospitalité au jeune ménage.

Mais, d'une part, le nigaud vicomte, ignorant de ses devoirs conjugaux, passe la nuit près de son précepteur et non dans les bras de Rose, et, d'autre part, le duc a grand soin de crever ses chevaux à la porte de Paris, ce qui l’oblige à rentrer chez lui. Pour arriver à ses fins, il organise une fête masquée et costumée en sa petite maison, après avoir persuadé au vicomte, dont le cœur commence à s’éveiller, qu'en leur siècle, il est d'un goût déplorable d'aimer sa femme et de faire avec elle, un couple uni. Puisqu’elle ne peut détacher le duc de Rose, elle s'attachera ce coquebin de vicomte. Elle déploie pour ce but, toutes ses ruses et tous ses aguichements. Et, après qu’elle l'a mis en émoi, survient Rose qui n'a plus qu'à cueillir un bonheur si chaudement préparé.
Le tout finit par « l'Embarquement pour Cythère » ou tiennent figure, près des principaux personnages, le Chevalier qui a fait voltiger son désir de Rosine à Rosemonde et de Rosa à Rosette, celles-ci elles-mêmes, puis Lisette, Isabelle, Armande, Nicole, Clo-rinde et la Marchande de Modes. De tout cela, qu'a dit l’Abbé ? Peu de choses, se trouvant tout le temps ahuri, alors qu’on lui faisait prendre la petite maison pour un couvent, un cabinet aux gravures licencieuses pour une cellule monastique, et les décolletages généreux des belles tournoyantes près de lui pour de tentatrices apparitions, analogues à celles qui voulurent faire damner saint Antoine.

[Extrait de "La Presse", 24 mai 1925]

Prologue, par Battaille-Henri [tenant lieu d'analyse, extrait du programme original]

C’est une intrigue et voilà tout...
C'est une intrigue dans le goût
De Marivaux et de Lesage...
Une intrigue où l’on voit l’Amour,
A deux cœurs, jouer plus d’un tour...
Et que commence un mariage.
Oui, c’est ainsi que ça commence,
Mais il faut — pour créer l’ambiance —
Vous avertir, noble assistance,
Que le point de départ,
(Ainsi que ce billet d ailleurs vous en fait part)
Est situé dès après la Régence :
Exactement En l’an
Mille sept cent vingt-quatrième
D ailleurs, ce chiffre importe peu,
Puisque, entre nous, ce que l’on veut
C'est vous donner un aperçu
De ce que fut
La vie au siècle dix-huitième...
Tel, du moins, qu’on se l’imagine ;
Siècle de grâce libertine
Qui vit certain abbé Prévost,
Dévergondé par Marivaux,
Auprès d’une fille galante
Mener conduite affriolante
Que le monde lui pardonnait,
Pressentant peut-être — qui sait ? —
Les strophes d’Alfred de Musset
Et la tendre musique à Monsieur Massenet !
Pour éviter toute critique,
Pour que nul, d'entre vous, ne tique,
L’on doit vous prévenir, Mesdames et Messieurs
Que nous ferons, devant vos yeux,
Passer en groupes gracieux
Des costumes audacieux
Tels que n’en portait point, à coup sûr, Des Grieux
Mais quoi, la scène est lanterne magique
Et si nous bousculons l’ordre chronologique
C’est parce que Serge de Diaghileff,
Et aussi Nikita Balieff,
Nous ont prouvé qu’en fait de goût vestimentaire
Le nôtre, après tout,
Valait tout aussi bien que celui du siècle où
Déjà sous Arouët avait percé Voltaire.
De même, dans notre dialogue,
Oû l’anachronisme fleurit
Vous entendrez des mots — pas toujours mots d’esprit —
Que le Cardinal de Fleury
Eût été fort surpris
De trouver dans le dictionnaire...
Ce dont l'auteur s’excuse auprès des pédagogues.
Il ne nous reste plus, pour clore ce prologue,
Autre chose à vous dire, ô très chers spectateurs
Que nos actrices, nos acteurs,
D e vos Illustres Seigneuries
Sont, sans basses flagorneries,
Les très fidèles serviteurs.

Critiques et articles de presse
Comoedia 22/05/1925 Avant-première par Robert de Thiac.
Le Figaro 23/05/1925 Encart publicitaire.
Excelsior 23/05/1925 Article publicitaire.
Le Gaulois 24/05/1925 Article par Louis Schneider / Renée Bonheur.
La Presse 24/05/1925 Article par Jane Catulle-Mendès.
Excelsior 24/05/1925 Critique par Emile Vuillermoz.
Comoedia 24/05/1925 Critique par Pierre Maudru / Louis Fourès / Albert du Meylin / Battaille-Henri.
(suite)
Le Ménestrel 29/05/1925 Critique par Pierre de Lapommeraye.
Excelsior 02/06/1925 Le Théâtre et la mode. Article par Marcy Ducray.
Le Figaro 13/09/1925 Reprise au Th. de l'Avenue (septembre 1925). Encart publicitaire.
Comoedia 13/09/1925 Reprise au Th. de l'Avenue (septembre 1925). Critique par P. de Nérac.
Excelsior 13/09/1925 Article publicitaire.
Comoedia 15/10/1925 Le déjeuner de 100e de "Qu'en dit l'Abbé ?". Article.
Editions imprimées

(chant-piano sauf mention contraire)

Editeur : Max Eschig, 1925

Partition complète (123 p.)
Aimer... Aimer...
Antoine
Chanson de route
La Javotte des porcherons
Pastorale
Petites fraises
Quand on sauve les apparences
Rondeau des mouches


Enregistrements 78T/mn
Par les créateurs au théâtre
Garder son coeur et son troupeau / BURNIER (Robert) (chant)
PATHE Sap 2129 (1925)
Nous nous verrons de loin en loin / BURNIER (Robert) (chant)
PATHE Sap 2129 (1925)
Par des interprètes n'ayant pas participé à la création
Chanson de route du "Royal Bidon" / VIORICA (orchestre)
GRAMOPHONE K 3180 (1925)
Rondeau des mouches / VIORICA (orchestre)
GRAMOPHONE K 3180 (1925)

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