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Celui qui tient la lampe. Distribution au théâtre Albert 1er (doc. "Paris qui chante", 1922)

 

Photo
 

 

 

Celui qui tient la lampe. Vision d'art, avec commentaire approprié ! (doc. "Paris qui chante", 1922)

 

Photo Paul Darty
 

 

 

Celui qui tient la lampe.

 

Photo Henri Manuel
Extr. de : Comoedia, 26.11.1921
 

 

 

BNF Gallica

Celui qui tient la lampe.

 

Photo
Extr. de : Comoedia, 26.11.1921
 

 

 

BNF Gallica

Celui qui tient la lampe.

 

Photo Henri Manuel
Extr. de : Comoedia, 26.11.1921
 

 

 

BNF Gallica

 

Celui qui tient la lampe

  Opérette libre en vers légers
Texte HANSWICK (Yoris d') (Livret)
REX (M.) (Livret)
Musique HILLIER (Louis)
Représentations
Représentations à Paris jusqu'en 1944 47 jours
Albert 1er 24/11/1921 - 09/01/1922 47 Création
Distribution à la création
Mme ADER (Jane) Lydie
Mme YMA (Yvonne) Mérone
M. NIEL (Henri) Isocrate
M. MORISS Octave
M. DELANGLE (Raymond) Paphos
Mme LAUNAY (Rachel) Chrysos
M. DEVÈRE Nicéphore
M. ROCIAS Le Porteur de lampe

Comme beaucoup de pièces représentées au théâtre Albert 1er, celle-ci est d'origine belge.
Le titre, en revanche, est d'origine française, puisque c'est un extrait d'un aphorisme de Voltaire !

L'Histoire
Résumé de la pièce

× Voilà. C’est dans une maison Tellier d’Alexandrie : une « petite pensionnaire », nièce de la directrice, vient passer ses vacances dans la maison de famille au milieu des grandes pensionnaires de cet établissement où la négresse ne manque pas. Mais on ne mit point, à cette occasion, sur la porte le « Fermé pour cause de première communion », pourtant classique. Classique, mais pas grec, sans doute.

Je vous laisse à deviner, d’après ce point de départ, comment cette demeure hospitalière devient le théâtre de parties et de chassés-croisés auxquels prennent part, outre la nièce et la tante, le noble Paphos, l’imposante Mérope, femme du Gouverneur, et quelques autres personnages des deux sexes. Il faut que vous sachiez pourtant que « celui qui tient... la lampe » et donne, malgré son rôle effacé, son titre à l’opérette, est en l’espèce, le mari.

Successivement, tous les autres hommes de la pièce sont frappés, comme lui, de malheurs conjugaux, mais tous aussi, dans le chœur final, se déclarent fort contents d’être cocus.

[Extrait de "Comoedia", 26 novembre 1921]

Critiques et articles de presse
Comoedia 26/11/1921 Critique par Montboron / Intérim.
La Presse 26/11/1921 Article par Jane Catulle-Mendès.


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